Maltraitance et retards développementaux dans un perspective interculturelle

Maltraitance et retards développementaux dans un perspective interculturelle

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Référence bibliographique [12876]

Jourdan-Ionescu, Colette. 1999. «Maltraitance et retards développementaux dans un perspective interculturelle». Dans Approches interculturelles en déficience mentale. L’Afrique-l’Europe-le Québec , sous la dir. de Michel Mercier, Ionescu, Serban et Salbreux, Roger, p. 277-283. Actes du colloque «5e congrès de l’Association Internationale de Recherche scientifique en faveur des personnes Handicapées Mentales (AIRHM)» tenu à Dakar du 16 au 20 décembre 1996. Namur (Belgique): Presses universitaires de Namur.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Après avoir précisé les deux concepts abordés dans ce texte – maltraitance et retards développementaux – et évoqué l’importance du contexte socioculturel dans lequel ils sont abordés, nous évoquerons trois liens possibles entre ces deux entités avant de faire quelques recommandations pour l’intervention.» (p. 277)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Selon l’auteure, «[l]’intervention auprès des personnes déficients doit avoir deux objectifs: diminuer la possibilité que des actes de maltraitance se produisent et diminuer les effets potentiels des abus déjà commis. Pour atteindre ces objectifs, il est important de travailler au sein d’une équipe multidisciplinaire […] qui abordera le problème sous des angles variés et complémentaires. Les interventions prévues peuvent porter sur […] la prévention s’adressant aux enfants, aux adultes et aux familles de déficients et même qu’à la population générale. [Elles peuvent aussi porter sur] la prise en charge des enfants et adultes déficients maltraités pour annuler la possibilité de récidive […]. [De plus elles peuvent porter sur] le suivi des parents déficients pour leur fournir un programme d’apprentissage des habiletés parentales […], la mise en place d’un réseau de soutien social adapté et le suivi à long terme du processus éducatif de l’enfant.» (p. 281-282)