Projet ''Concerto-Accueil du nouveau-né'' dans le région Chaudière-Appalaches

Projet ''Concerto-Accueil du nouveau-né'' dans le région Chaudière-Appalaches

Projet ''Concerto-Accueil du nouveau-né'' dans le région Chaudière-Appalaches

Projet ''Concerto-Accueil du nouveau-né'' dans le région Chaudière-Appalachess

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Référence bibliographique [12744]

Dionne, Madeleine, Champagne, Linda et Laflamme, Michel K. 2014. «Projet ''Concerto-Accueil du nouveau-né'' dans le région Chaudière-Appalaches». Dans Familles et pratiques sociales : l’approche-médiation : postures et initiatives , sous la dir. de Michel K. Laflamme et Piovesan, Joëlle, p. 126-134. Lyon (France): Presses de l’Université Laval; Chronique sociale.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Les auteurs présentent les différentes composantes du programme «Concerto-Accueil du nouveau-né» qui «vise à développer une intervention précoce et préventive propre à assurer la protection de l’enfant à naître ou du nouveau-né.» (p. 126) Les auteurs expliquent également en quoi ce programme s’inscrit dans une démarche correspondant aux principes de l’Approche médiation.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«En conclusion, on peut dire que le programme Concerto-Accueil du nouveau-né vise à optimiser l’offre de service dans un contexte de situations parentales présentant un risque sérieux de privation de soins chez l’enfant. Ce programme a aussi comme objectif de renforcer et de promouvoir, entre les milieux d’intervention, des liens de collaboration favorisant une action concertée et multidisciplinaire. Il permet enfin de réaliser une évaluation plus complète de la situation de l’enfant à naître, lorsque possible, et ce, afin de diminuer le nombre d’interventions faites en urgence dans le cadre de l’évaluation du signalement du nouveau-né par la Direction de la protection de la jeunesse [DPJ]. Dans tous les scénarios envisagés, l’esprit de médiation a sa place car la mère ou les parents ont toujours le choix de refuser les services. Les intervenants ont alors l’occasion, patiemment, de revoir avec eux leurs besoins et de faire connaître ceux de l’enfant à naître et de la DPJ.» (p. 135)