Parental Separation and Child Adjustment: Longitudinal Perspective and Risk Factors
Parental Separation and Child Adjustment: Longitudinal Perspective and Risk Factors
Parental Separation and Child Adjustment: Longitudinal Perspective and Risk Factors
Parental Separation and Child Adjustment: Longitudinal Perspective and Risk Factorss
|
Référence bibliographique [12739]
Di Stefano, Gessica. 2013. «Parental Separation and Child Adjustment: Longitudinal Perspective and Risk Factors». Thèse de doctorat, Montréal, Universite de Montreal, Département de psychologie.
Intentions : «Cette thèse est constituée de deux articles empiriques. Le premier examine l’adaptation de l’enfant avant et après la séparation en fonction du sexe et de l’âge au moment de la séparation. Le second article présente une étude qui a pour objectif de départager l’importance des facteurs parentaux et contextuels et celle de la séparation parentale pour expliquer l’adaptation de l’enfant.» (p. iii)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Les participants proviennent de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ, 1998-2006). […] La première étude inclus 143 enfants de familles séparées et 1705 enfants de familles intactes. Deux sous-groupes ont été créés selon que l’enfant ait vécu la séparation entre 2 et 4 ans, ou entre 4 et 6 ans. […] La deuxième étude inclus 358 enfants de 8 ans qui ont vécu la séparation de leurs parents, et 1065 enfants du même âge provenant de familles intactes.» (p. iii-iv)
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Les résultats de cette première étude démontrent qu’avant la séparation, les enfants de familles intactes et séparées ne se distinguent pas significativement quant à leurs niveaux d’hyperactivité/impulsivité et d’anxiété. Par contre, ces difficultés deviennent significativement plus élevées chez les enfants de familles séparées après la rupture des parents. D’autres parts, le niveau d’agressivité physique est plus élevé chez les enfants de la séparation indépendamment du temps de mesure. Finalement, les différences entre les deux groupes d’enfants ne dépendent pas du sexe ou de l’âge au moment de la séparation. […] Après avoir contrôlé pour le sexe de l’enfant, les résultats [de la deuxième étude] ont démontré que lorsqu’on tient compte de la contribution des symptômes maternels de dépression et d’anxiété, de la qualité des pratiques parentales et du revenu du ménage dans l’adaptation de l’enfant, la séparation parentale ne demeurent plus liée aux niveaux d’anxiété et d’agressivité physique de l’enfant. Par contre, la relation entre la séparation parentale et l’hyperactivité/impulsivité de l’enfant demeure significative.» (p. iv)