Les Québécoises en couple, principalement les mères, sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les autres Canadiennes

Les Québécoises en couple, principalement les mères, sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les autres Canadiennes

Les Québécoises en couple, principalement les mères, sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les autres Canadiennes

Les Québécoises en couple, principalement les mères, sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les autres Canadienness

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Référence bibliographique [12716]

Demers, Marc-André. 2015. Les Québécoises en couple, principalement les mères, sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les autres Canadiennes. Montréal: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce bref rapport, «nous nous sommes intéressés à l’emploi des femmes en couple.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les données sont issues de l’Enquête sur la population active réalité par Statistique Canada en 2014.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Quelques constats ressortent de cette brève analyse. Tout d’abord, près des trois quarts des Québécoises de 25-54 ans sont dans un couple où les deux personnes occupent un emploi. Cette part progresse plus rapidement que celle des autres Canadiennes du même âge depuis la fin des années 1990; elle y est même supérieure depuis quelques années. Enfin, il appert que cette progression est le fait de toutes les femmes en couple, mais que l’écart observé entre les Québécoises et les autres Canadiennes est principalement dû à celles ayant au moins un enfant.» (p. 1) Plus précisément, «[e]n 2014, les Québécoises avec un enfant de moins de 6 ans dans un couple où les deux personnes travaillent représentent 70,3% de l’ensemble des femmes québécoises en couple; les autres Canadiennes dans cette situation comptent pour 65,1%. Les parts sont respectivement de 78,0% et 72,5% pour les femmes avec un enfant de 6 à 15 ans. Dans ces deux groupes, l’écart entre les Québécoises et les autres Canadiennes tend à augmenter. Toutefois, l’écart en faveur des Québécoises s’observe depuis plus longtemps chez les femmes ayant un enfant de moins de 6 ans que chez celles avec un enfant de 6 à 15 ans.» (p. 3)