Femmes immigrantes, soutien et situation d’insertion socioprofessionnelle... entre ruptures et continuités

Femmes immigrantes, soutien et situation d’insertion socioprofessionnelle... entre ruptures et continuités

Femmes immigrantes, soutien et situation d’insertion socioprofessionnelle... entre ruptures et continuités

Femmes immigrantes, soutien et situation d’insertion socioprofessionnelle... entre ruptures et continuitéss

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Référence bibliographique [12638]

Cardu, Hélène. 2008. «Femmes immigrantes, soutien et situation d’insertion socioprofessionnelle... entre ruptures et continuités». Dans Familles migrantes au gré des ruptures : Tisser la transmission , sous la dir. de Michèle Vatz Laaroussi, Bolzman, Claudio et Lahlou, Mohamed, p. 293-302. Lyon (France): Éditions L’interdisciplinaire.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteure aborde l’insertion socioprofessionnelle des femmes immigrantes au Québec.

Questions/Hypothèses :
«La précarisation des emplois et la déqualification sont des phénomènes qui touchent principalement les jeunes et les femmes, et les femmes immigrées en sont d’autant les victimes puisqu’elles y sont exposées de façon plus marquée que leurs consœurs issues du groupe majoritaire dans la société québécoise.» (p. 295)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Le soutien familial et social, qu’il se traduise sous forme d’aide concrète, de possibilités d’exutoire, d’attachement, de socle solide représentant la stabilité, qu’il soit virtuel, sous forme de messages reçus et de communication, ou même imaginaire, sous forme de quasi-hallucinations identitielles à des modèles d’identification, sociaux, familiaux et culturels, agit comme moteur à l’action, semblant exercer un rôle clé dans la recherche d’établissement de stratégies efficaces de cohérence face à l’environnement de travail. Il semble que le choix des types de soutien privilégiés soit fonction d’autres dimensions identitaires, telles celles du genre, de l’appartenance nationale, de l’occupation, du groupe d’âge et qu’il soit fréquent qu’un recours au soutien familial colore la sphère privée, le soutien social étant plus probant dans des situations professionnelles (chez les femmes que nous avons rencontrés [sic]) ce qui peut se justifier aussi par la méconnaissance des réseaux professionnels de soutien existants ou encore par le faible nombre en région peu dense en immigration.» (p. 300)