Perceptions et pouvoirs des intervenants sociaux concernant la divulgation de renseignements confidentiels prévus par l’article 35.4 de la LPJ

Perceptions et pouvoirs des intervenants sociaux concernant la divulgation de renseignements confidentiels prévus par l’article 35.4 de la LPJ

Perceptions et pouvoirs des intervenants sociaux concernant la divulgation de renseignements confidentiels prévus par l’article 35.4 de la LPJ

Perceptions et pouvoirs des intervenants sociaux concernant la divulgation de renseignements confidentiels prévus par l’article 35.4 de la LPJs

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Référence bibliographique [12565]

Bélanger, Julie. 2014. «Perceptions et pouvoirs des intervenants sociaux concernant la divulgation de renseignements confidentiels prévus par l’article 35.4 de la LPJ». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École de travail social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Face au double devoir de protéger l’enfance et de protéger la confidentialité, nous avons voulu savoir comment agissent les intervenantes sociales lorsqu’elles sont confrontées à prendre une décision quant à la divulgation de renseignements confidentiels.» (p. xvii)

Questions/Hypothèses :
«Nous nous intéressons donc à la difficulté entourant le double devoir de l’intervenant social. Celle-ci réside-t-elle dans la conciliation entre la relation d’aide (savoir disciplinaire ou clinique) et le contrôle social (savoir juridique) en protection de la jeunesse? Le savoir éthique ne serait- il pas la clé de l’intervenant pour prendre conscience des pouvoirs qu’il véhicule dans sa prise de décision?» (p. 64)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«La taille de notre échantillon finale est de huit (8) intervenantes sociales.» (p. 70)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les résultats de la recherche nous informent que toutes les intervenantes sociales rencontrées (CJM [Centre jeunesse de Montréal] et CDC [Centre Dollard-Cormier]) tendent à protéger la confidentialité de leur clientèle, c’est-à-dire des enfants pour le CJM ainsi que des parents et des jeunes pour le CDC. Les répondantes du CDC perçoivent la confidentialité comme un outil qui facilite l’intervention sociale et elles vont davantage appuyer la décision de divulguer ou pas de l’information en fonction du consentement de la clientèle et du danger imminent d’une situation. Les répondantes du CJM perçoivent la confidentialité comme une contrainte et elles vont prendre leur décision plus en fonction de repères normatifs (lois, règles, normes, supérieurs).» (p. xvii)