Prévention et traitement en matière de violence physique envers les enfants

Prévention et traitement en matière de violence physique envers les enfants

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Référence bibliographique [1252]

Lavergne, Chantal et Dufour, Sarah. 2009. «Prévention et traitement en matière de violence physique envers les enfants». Dans La violence à l’égard des enfants en milieu familial , sous la dir. de Marie-Ève Clément et Dufour, Sarah, p. 31-46. Anjou, Québec: Éditions CEC.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce chapitre, les auteures se proposent de «[...] présente[r] l’éventail des possibilités en matière de prévention et de traitement de la violence physique, qu’elle ait lieu seule ou en coocurence avec la négligence [...]». (p.33)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les programmes [de prévention et de traitement de la violence physique] sont présentés en fonction des niveaux d’intervention : individuel, relationnel, communautaire et sociétal. On en décrit brièvement les caractéristiques, suivies des résultats sur leur efficacité. Ce chapitre repose sur un examen des recensions d’écrits réalisées au cours des années 1990 et 2000, et sur des études évaluatives plus récentes.» (p.33) Les auteurs constatent que «[l]es stratégies efficaces de prévention et d’intervention en matière de violence physique sont encore relativement peu nombreuses. Les visites à domicile constituent les seuls programmes pour lesquels on dispose de données fiables sur leur capacité à prévenir l’abus ou la négligence envers les enfants ainsi que sur la durabilité de leurs effets. [...] Les programmes individuels axés sur les traumatismes, les habiletés sociales et les compétences parentales améliorent quant à eux le bien-être des enfants et des parents, mais leur efficacité à réduire la maltraitance semble limitée. Les programmes communautaires qui visent à améliorer le développement des enfants et le parentage auprès des futurs et nouveaux parents sont considérés comme très prometteurs pour prévenir l’abus physique [...]» (p.45)