Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002s

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Référence bibliographique [12508]

Motard, Louise. 2004. Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002. Sainte-Foy (Québec): Gouvernement du Québec, Ministère de la sécurité publique, Direction générale des affaires policières, de la prévention et des services de sécurité.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce rapport présente les statistiques officielles du ministère de la Sécurité publique sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2002.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les données «proviennent des événements criminels signalés aux corps de police ou connus de ceux-ci qui sont enregistrés en vertu du Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC).» (p. 5)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Bien que plusieurs victimes de crimes commis dans un contexte conjugal ne font pas appel à la police pour demander de l’aide, les corps policiers ont tout de même enregistré près de 17 000 victimes de tels crimes en 2002. Ces victimes représentent plus d’une victime de crimes contre la personne sur cinq. Quatre femmes victimes de crimes contre la personne sur dix ont été agressées dans un contexte conjugal comparativement à moins d’un homme sur dix. Par ailleurs, bien que la violence conjugale touche principalement les personnes de 18 à 39 ans, elle n’épargne aucun groupe d’âge, notamment les jeunes de 12 à 17 ans. […] Les victimes ont surtout subi des voies de fait simples (6 sur 10). […] Au cours des cinq dernières années, la violence conjugale connue de la police a augmenté dans presque toutes les régions au Québec. Cette augmentation a été observée pour les deux sexes, mais davantage chez les hommes, et dans tous les groupes d’âge, particulièrement chez les 12 à 17 ans et les 60 à 69 ans. Il est possible, et nous le souhaitons, que cette hausse résulte en partie des actions réalisées par le gouvernement et ses partenaires pour prévenir, dépister et contrer cette violence.» (p. 65)