Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2009
Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2009
Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2009
Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2009s
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Référence bibliographique [12471]
Motard, Louise. 2011. Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2009. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la sécurité publique, Direction de la prévention et de l’organisation policière.
Intentions : Ce rapport présente «les statistiques [pour l’année 2009] sur les infractions commises dans un contexte conjugal [qui] contribuent à accroître les connaissances sur le phénomène de la violence conjugale au Québec.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Les données sur les infractions commises dans un contexte conjugal sont issues du Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’événement criminel (DUC 2). Ce programme est utilisé par la Sûreté du Québec, les corps de police municipaux et certains corps et services de police autochtones pour enregistrer des renseignements sur l’ensemble des crimes qu’ils ont découverts ou qui leur ont été signalés. Au Québec, presque toute la population est desservie par des corps policiers qui utilisent ce programme.» (p. 1)
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«En 2009, les corps policiers ont enregistré 18 180 infractions contre la personne commises dans un contexte conjugal, c’est-à-dire par une personne conjointe, ex-conjointe, amie intime ou ex-amie intime de la victime. Ces infractions, représentant plus du cinquième (22 %) de toutes les infractions contre la personne consignées dans l’année, ont augmenté de près de 4 % en 2009, soit 827 infractions additionnelles. […] Les homicides (17), les tentatives de meurtre (31) et les voies de fait de niveau 3 (voies de fait blessant, mutilant, défigurant ou mettant la vie en danger) (65) composaient moins de 1 % des infractions. […] En plus des 18 180 victimes conjointes, ex-conjointes, amies intimes ou ex-amies intimes de l’auteur présumé, les événements criminels opposant des partenaires actuels ou passés ont fait 1 777 autres victimes de crimes, dont trois sur dix étaient mineures.» (p. i)