Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2006

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2006

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2006

Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2006s

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Référence bibliographique [12468]

Motard, Louise. 2006. Statistiques sur la criminalité commise dans un contexte conjugal en 2006. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la sécurité publique, Direction de la prévention et de la lutte contre la criminalité.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce rapport présente, pour l’année 2006, «les statistiques sur les infractions commises dans un contexte conjugal signalées aux autorités policières et jugées fondées par celles-ci après enquête.» (p. 9)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les données proviennent des «corps de police [qui] sont responsables de recueillir des renseignements standardisés en relation avec les événements criminels survenus sur leur territoire, qu’ils ont découverts ou qui leur ont été signalés. Ces renseignements sont principalement enregistrés dans une banque de données nommée Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire (programme DUC 2), gérée par le Centre canadien de la statistique juridique, un organisme de Statistique Canada.» (p. 11)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


L’auteure remarque que «17 843 infractions contre la personne commises dans un contexte conjugal en 2006 ont été enregistrées. Ces infractions composaient 22 % de toutes les infractions contre la personne enregistrées dans l’année. […] Les infractions contre la personne commises dans un contexte conjugal sont demeurées plutôt stables en 2006, le taux d’infractions par 100 000 habitants n’ayant progressé que de 1 %, tant pour les femmes que pour les hommes. Les infractions contre la personne commises dans un contexte conjugal sont demeurées plutôt stables en 2006, le taux d’infractions par 100 000 habitants n’ayant progressé que de 1 %, tant pour les femmes que pour les hommes. Pour une deuxième année consécutive, les 18 à 24 ans ont affiché le taux d’infractions par 100 000 le plus élevé. Outre le fait que les victimes étaient surtout des femmes quelle que soit la catégorie d’infractions, le profil général des victimes était le suivant: 87 % étaient âgées de 18 à 49 ans, 44 % étaient les conjointes de l’auteur présumé tandis que 42 % étaient des ex-conjointes, 43 % ont été blessées lors de l’infraction et, parmi les personnes blessées, 87 % ont eu des blessures légères. […] On comptait 1 722 victimes indirectes de la criminalité commise dans un contexte conjugal dont plus du tiers étaient âgées de moins de 18 ans.» (p. 3-4)