Prévalence et conséquences de la violence conjugale envers les hommes et les femmes
Prévalence et conséquences de la violence conjugale envers les hommes et les femmes
Prévalence et conséquences de la violence conjugale envers les hommes et les femmes
Prévalence et conséquences de la violence conjugale envers les hommes et les femmess
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Référence bibliographique [12461]
Laroche, Denis. 2005. Prévalence et conséquences de la violence conjugale envers les hommes et les femmes. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.
Intentions : «L’analyse qui suit a pour objectif de présenter quelques statistiques sur la prévalence de la violence conjugale au Canada et d’en discuter certains aspects méthodologiques sous-jacents. Il [sic] compte trois sections: la méthodologie employée dans la mesure de la prévalence, les statistiques de la prévalence de la violence conjugale physique, la typologie de Johnson et les conséquences physiques de la violence conjugale. La conclusion résumera d’abord les principaux constats de l’exposé et fera ensuite état de certaines avancées importantes dans le domaine de la recherche sur la violence conjugale au cours des dernières années.» (p. 5)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Les données «proviennent de l’Enquête sociale générale (ESG) de 1999 sur la victimisation criminelle au Canada, menée par Statistique Canada.» (p. 6)
Instruments : Questionnaire
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«En somme, les données de l’ESG de 1999 se traduisent par les constats suivants: […] des taux de prévalence similaires pour les hommes et les femmes[.] [D]es proportions semblables de victimes de la violence grave chez les hommes et les femmes[.] [U]ne évolution comparable des taux de prévalence selon l’âge chez les hommes et les femmes[.] [L]’association des conséquences physiques à la violence grave et à un nombre élevé d’événements, tant chez les hommes que chez les femmes[.] [U]n nombre nettement plus grand de femmes que d’hommes font état de conséquences physiques par suite de violence conjugale, telles que des blessures, le fait d’avoir reçu des soins dans un hôpital ou des soins et le suivi d’un médecin ou d’une infirmière, ou l’interruption de leurs activités quotidiennes. On obtient des résultats de même nature dans une forte majorité des enquêtes transversales menées au moyen d’échantillons représentatifs. Ces résultats sont également compatibles avec les mesures de la prévalence de la violence conjugale obtenues chez les jeunes adultes dans les enquêtes longitudinales.» (p. 23) Ce rapport fournit des statistiques pour la situation québécoise.