Marriage and Cohabitation: Demographic and Socioeconomic Differences in Quebec and Canada

Marriage and Cohabitation: Demographic and Socioeconomic Differences in Quebec and Canada

Marriage and Cohabitation: Demographic and Socioeconomic Differences in Quebec and Canada

Marriage and Cohabitation: Demographic and Socioeconomic Differences in Quebec and Canadas

| Ajouter

Référence bibliographique [12213]

Kerr, Don, Moyser, Melissa et Beaujot, Roderic. 2006. «Marriage and Cohabitation: Demographic and Socioeconomic Differences in Quebec and Canada ». Canadian Studies in Population, vol. 33, no 1, p. 83-117.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[C]et article a les trois buts suivant: [p]remièrement, nous donnons un bref aperçu de la récente hausse du nombre d’unions de fait dans son plus large contexte historique et international; deuxièmement, nous révisons l’information recueillie par le Recensement de 2001 et l’Enquête sociale nationale de 1998 au sujet de certaines caractéristiques socioéconomiques et démographiques clés des personnes qui cohabitent vis-à-vis de celles qui se marient; troisièmement, nous examinons le pourquoi et le comment de l’importance de ces changements pour les politiques publiques et leur intérêt direct pour les législateurs et le système juridique canadien.» (p. 84)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Selon les auteurs, «[l]es différences majeures qui existent entre le Québec et le reste du Canada sont documentées quant aux niveaux d’éducation, de participation à la population active, de revenu moyen, de pauvreté de revenu et de propriété foncière. Il a été trouvé que les différences documentées entre les personnes qui se marient vis à vis [sic] celles qui cohabitent sont beaucoup moins importantes au Québec qu’ailleurs au pays et ce dans un contexte où la cohabitation y est devenue beaucoup plus répandue; une observation qui comporte des implications directes pour les politiques publiques.» (p. 84)