Le magistère romain et la planification des naissances, de 1965 à 1992

Le magistère romain et la planification des naissances, de 1965 à 1992

Le magistère romain et la planification des naissances, de 1965 à 1992

Le magistère romain et la planification des naissances, de 1965 à 1992s

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Référence bibliographique [12096]

Michaud, Yves. 2013. «Le magistère romain et la planification des naissances, de 1965 à 1992». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Faculté de théologie et de sciences religieuses.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteur aborde «certains textes émanant du magistère siégeant à Rome, textes qui portent sur le problème éthique de la planification des naissances. L’objectif est de comprendre comment ces textes magistériels justifient leurs positions et légitiment leur parole.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


À la lumière de ses recherches, l’auteur conclut en expliquant «qu’il y a au moins deux éléments positifs qui ressortent de cette revue des textes magistériels, et au moins deux faiblesses. Le premier élément positif est que la position romaine présente sur les moyens jugés licites et illicites de planification des naissances présente une grande cohérence interne et une grande cohérence dans le temps. […] L’autre élément positif [...] est le recours à un nouveau cadre théorique, le personnalisme, d’origine récente. Ce recours illustre la capacité du magistère romain d’actualiser la forme que prend son message et d’intégrer certains développements de la pensée moderne.» (p. 129-130) Concernant les faiblesses, l’auteur mentionne que «le Magistère romain ne dispose pas de l’enracinement concret dans l’expérience de la vie affective et sexuelle des couples auxquels il s’adresse, en dépit de l’autorité qu’il se reconnaît à lui-même.» (p. 130) Également, il «constate dans la pensée magistérielle une ignorance totale du fait de l’évolution humaine, et de ses implications pour la façon dont l’être humain est amené à se comprendre lui-même.» (p. 131)