Pour la majorité des aînés vivant à domicile : Des réseaux sociaux encore très actifs

Pour la majorité des aînés vivant à domicile : Des réseaux sociaux encore très actifs

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Pour la majorité des aînés vivant à domicile : Des réseaux sociaux encore très actifss

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Référence bibliographique [12089]

Latulippe, Karine et Lapointe, France. 2012. «Pour la majorité des aînés vivant à domicile : Des réseaux sociaux encore très actifs». Dans Le vieillissement démographique : de nombreux enjeux à déchiffrer , sous la dir. de Sylvie Rheault et Poirier, Jean, p. 157-171. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[C]et article donne un aperçu des réseaux sociaux auxquels participent les personnes de 45 ans et plus […].» (p. 157)

Questions/Hypothèses :
«Quelle part des aînés ont des contacts réguliers avec leur famille et leurs amis? À quelle intensité? Combien d’entre eux connaissent leurs voisins ou s’impliquent dans les groupes?» (p. 157)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les auteures se basent sur «des données de l’Enquête sociale générale (ESG) de Statistique Canada de 2007 (cycle 21) […].» (p. 157)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Bref, selon l’Enquête sociale générale de 2007, les aînés québécois vivant en ménages privés sont relativement bien entourés.» (p. 170) Concernant les 55-64 ans, les auteures «ne détecte pas de différence significative entre la proportion de Québécois de 55-64 qui se sentent seuls parmi ceux qui sont à la retraite et ceux qui travaille (autour du quart dans les deux cas).» (p. 164) Pour les 65 ans et plus, les auteures «constate[nt] qu’une grande majorité des personnes […] entretiennent des contacts réguliers avec leur famille et leurs amis. […] Par rapport aux hommes, les femmes sont plus nombreuses proportionnellement à communique chaque mois avec leur famille (95% c. 90%), et ce, de façon plus intensive, soit 73% à toutes les semaines contre 60% des hommes. » (p. 164) Les auteures notent que «[b]ien que la majorité des 65 ans et plus ont des contacts avec leur famille et leurs amis sur une période d’un mois, une bonne santé est associée à une plus forte probabilité d’avoir des contacts. […] On constate aussi que par rapport aux autres Canadiens, les Québécois sont plus proches de leur famille, mais entretiennent moins de relations avec des amis.» (p. 170) Ce chapitre contient plusieurs comparaisons de ce type entre le Québec et le reste du Canada.