Les facteurs liés à la réussite aux épreuves obligatoires de français en sixième année du primaire un tour d’horizon

Les facteurs liés à la réussite aux épreuves obligatoires de français en sixième année du primaire un tour d’horizon

Les facteurs liés à la réussite aux épreuves obligatoires de français en sixième année du primaire un tour d’horizon

Les facteurs liés à la réussite aux épreuves obligatoires de français en sixième année du primaire un tour d’horizons

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Référence bibliographique [12070]

Desrosiers, Hélène et Tétreault, Karine. 2012. Les facteurs liés à la réussite aux épreuves obligatoires de français en sixième année du primaire un tour d’horizon. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique Québec, volume 7, fascicule 1.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[L]e présent fascicule vise à dresser un portrait de la réussite aux épreuves ministérielles de sixième année du primaire en lecture et en écriture des élèves nés au Québec fréquentant une école francophone.» (p. 2)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Ce fascicule s’appuie sur les données de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ 1998-2010) conduite par l’Institut de la statistique du Québec […].» (p. 1)

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Dans un premier temps, les taux de réussite aux épreuves ministérielles de lecture et d’écriture sont présentés selon certaines caractéristiques des élèves et de leur milieu familial, scolaire ou résidentiel, mesurées en sixième année du primaire. Dans un deuxième temps, on examine le lien entre les taux de réussite dans ces matières, d’une part, et l’éveil à la lecture et à l’écriture en bas âge et la préparation des enfants sur les plans physique, cognitif et socioaffectif à la maternelle, d’autre part.» (p. 2) «[N]os résultats montrent que, bien avant l’entrée à l’école, le contexte éducatif familial peut contribuer au développement du goût de la lecture et au développement des compétences dans ce domaine […]. Ainsi, les enfants à qui les parents ou un adulte de la maison faisaient la lecture quotidienne vers 1 ½ an étaient proportionnellement plus nombreux à rapporter lire pour le plaisir au moins une heure par semaine en sixième année du primaire. Ces enfants affichaient un taux de réussite plus élevé à l’épreuve de lecture […]. Il apparaît donc important de soutenir les parents dans l’éveil de leurs enfants à la lecture bien avant les apprentissages plus formels qui se feront à l’école […]. Cet accompagnement parental doit toutefois être présent durant tout le parcours scolaire.» (p. 26)