Projets du Fonds de lutte contre les activités des gangs de jeunes : qu’est-ce que nous avons appris au sujet de ce qui fonctionne pour prévenir la participation à des activités de gangs?

Projets du Fonds de lutte contre les activités des gangs de jeunes : qu’est-ce que nous avons appris au sujet de ce qui fonctionne pour prévenir la participation à des activités de gangs?

Projets du Fonds de lutte contre les activités des gangs de jeunes : qu’est-ce que nous avons appris au sujet de ce qui fonctionne pour prévenir la participation à des activités de gangs?

Projets du Fonds de lutte contre les activités des gangs de jeunes : qu’est-ce que nous avons appris au sujet de ce qui fonctionne pour prévenir la participation à des activités de gangs?s

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Référence bibliographique [12049]

Smith-Moncrieffe, Donna. 2013. Projets du Fonds de lutte contre les activités des gangs de jeunes : qu’est-ce que nous avons appris au sujet de ce qui fonctionne pour prévenir la participation à des activités de gangs?. Ottawa: Gouvernement du Canada, Sécurité publique Canada, Centre national de prévention du crime.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le présent document met en contexte les travaux du CNPC [(Centre national de prévention du crime)] sur les gangs de jeunes, décrit brièvement les projets financés et l’approche adoptée pour les évaluations, présente les principaux résultats et formule des conclusions pour l’avenir.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’auteure précise que «[l]a présente synthèse se fonde sur les résultats de dix évaluations d’impact.» (p. 6) Au Québec, c’est le «Projet pilote de prévention des gangs Mini-Poste (P’tit Police)» (p. 4) mené en collaboration avec le Centre de ressources de la communauté noire qui apparait dans les données.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


À la lumière de ses recherches, l’auteure note que «les parents de jeunes à risque élevé d’adhérer à des gangs ou membres de gangs présentent habituellement des facteurs de risque semblables à ceux des participants, notamment: absence de la vie de l’enfant; soutien limité pour prendre soin de l’enfant […]; et problèmes d’abus de substances et autres troubles mentaux. De plus, les frères et sœurs qui ont des antécédents criminels, surtout ceux qui font partie de gangs, transmettent souvent leurs comportements aux plus jeunes membres de leur famille. Parce qu’ils craignaient de voir leur famille associée aux gangs, les parents ont souvent participé aux projets de façon limitée, ce qui a limité leurs occasions de renforcer les valeurs et les stratégies véhiculées par les intervenants des projets. Onze projets de prévention des activités de gangs mesuraient les changements dans la participation familiale et communautaire. […] Les résultats [montrent] que les préoccupations des parents à l’égard de la stigmatisation […] limitaient leur participation et pourraient avoir contribué à l’incapacité de provoquer des changements positifs dans les connaissances et les attitudes envers les comportements des enfants.» (p. 13)