Bien vieillir dans sa langue, sa culture et sa communauté : soutien d’institutions fédérales clés et portrait des aînés anglophones du Québec

Bien vieillir dans sa langue, sa culture et sa communauté : soutien d’institutions fédérales clés et portrait des aînés anglophones du Québec

Bien vieillir dans sa langue, sa culture et sa communauté : soutien d’institutions fédérales clés et portrait des aînés anglophones du Québec

Bien vieillir dans sa langue, sa culture et sa communauté : soutien d’institutions fédérales clés et portrait des aînés anglophones du Québecs

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Référence bibliographique [12046]

Pocock, Joanne. 2013. Bien vieillir dans sa langue, sa culture et sa communauté : soutien d’institutions fédérales clés et portrait des aînés anglophones du Québec. Ottawa: Gouvernement du Canada, Ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux, Commissariat aux langues officielles.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette étude exploratoire a deux grands objectifs. Le premier consiste à décrire le soutien qu’accorde le gouvernement fédéral au moyen de politiques et de programmes s’adressant aux aînés en général et aux aînés anglophones et francophones issus des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM). Le deuxième objectif vise à brosser un portrait de la situation des aînés anglophones du Québec à l’aide de données.» (p. 1)

Questions/Hypothèses :
«[L]’étude pose les questions suivantes: Où vivent les aînés anglophones du Québec? Qui sont-ils? Qui s’occupe d’eux? À quels services ont-ils accès, et comment utilisent-ils ces services?» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
La présente étude est basée sur les données du Recensement canadien de 2006, de Statistique Canada, mais également sur des 17 entrevues avec des informateurs clés au sein des ministères et organismes concernés.

Instruments :
Questionnaire
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé



Dans une section qui traite de la situation des aînés anglophones au Québec, les auteurs en viennent à plusieurs constats. Ainsi, ils notent que «[l]e nombre d’aidants, soit des membres de la famille ou des amis sur lesquels les aînés peuvent compter pour obtenir de l’aide au besoin, est un facteur qui influe sur leur qualité de vie, y compris leur capacité de préserver leur indépendance. Or, les aidants naturels peuvent se faire rares en raison de la structure d’âge de la minorité anglophone, plus particulièrement dans les régions où le taux de vieillissement est plus élevé.» (p. 26) «La quantité de soins non rémunérés fournis par des membres de la famille ou des amis aux aînés donne une bonne idée de la pression imposée aux aidants naturels et de l’ampleur des besoins des personnes qui reçoivent les soins. Au Canada, 3,1 % de la population prodigue des soins non rémunérés aux aînés pendant 10 heures ou plus par semaine. La même proportion de Québécois anglophones donne des soins non rémunérés à des membres de la famille ou à des amis plus âgés, alors que cette proportion est de 2,3 % chez les Québécois francophones, selon les données du Recensement de 2006.» (p. 28)