Vivre à proximité d’un stresseur environnemental persistant : comprendre les interactions pour une meilleure régulation

Vivre à proximité d’un stresseur environnemental persistant : comprendre les interactions pour une meilleure régulation

Vivre à proximité d’un stresseur environnemental persistant : comprendre les interactions pour une meilleure régulation

Vivre à proximité d’un stresseur environnemental persistant : comprendre les interactions pour une meilleure régulations

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Référence bibliographique [12010]

Rioux, Richard. 2013. «Vivre à proximité d’un stresseur environnemental persistant : comprendre les interactions pour une meilleure régulation». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, Faculté de communication.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce mémoire vise à caractériser les modalités de régulations mises en œuvre par des citoyens vivant à proximité d’un dépotoir et à comprendre les éléments des environnements social et physique qui peuvent influencer le recours à ces modalités.» (p. xi)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’échantillon de cette recherche est composé de neuf hommes et onze femmes, dont l’âge médian se situe entre 50 et 54 ans. Les participants habitent dans 16 foyers différents. L’échantillon regroupe quatre couples, deux participants qui vivent seuls (un homme et une femme) et de dix résidents membres d’une famille dont le nombre médian de résidents dans le foyer est de trois personnes.» (p. 41)

Instruments :
Questionnaire
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«[Un] type d’élément observé dans le discours des participantes et participants est celui qui a trait aux relations. Nous remarquons dans nos résultats que le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) peut être un déclencheur dans le processus de régulation. La participation des citoyens à ces activités leur permet de choisir des modalités adaptées. Pour ce qui est des modalités dites relationnelles, nous trouvons principalement des discussions dans le couple, la famille ou avec les voisins. Dans le cas des discussions dans la famille et avec les voisins, il s’agit surtout d’échanges qui portent sur les nuisances associées au dépotoir. Les discussions entre conjoints se révèlent de deux ordres [soit] de courtes discussions sur un événement en lien avec une nuisance [ou des] actions de soutien émotif et instrumental d’un conjoint afin de permettre une maîtrise, une réduction ou une tolérance de l’inconfort.» (p. 65-66) «Pour les couples rencontrés […] la configuration en relation partagée est la plus couramment évoquée. Nous remarquons […] un pa1iage dans les tâches ou dans les activités. Ainsi, même si un conjoint ne veut pas s’engager activement, il offrira de prendre en charge certains aspects liés aux tâches familiales pour permettre à sa conjointe de participer aux activités collectives.» (p. 73)