L’insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. Quel rôle joue la famille ?

L’insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. Quel rôle joue la famille ?

L’insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. Quel rôle joue la famille ?

L’insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. Quel rôle joue la famille ?s

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Référence bibliographique [1198]

Molgat, Marc et Vultur, Mircea. 2009. «L’insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. Quel rôle joue la famille ? ». Recherches Sociographiques, vol. 50, no 1, p. 41-66.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« [...] [N]ous nous proposons de présenter une analyse du rôle de la famille dans le cheminement scolaire et dans le processus d’insertion professionnelle en nous intéressant tout particulièrement aux jeunes Québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire. » (p. 42)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Cet article se fonde sur « [...] deux projets de recherche menés par entretiens semi-dirigés ayant comme objet l’insertion professionnelle et le rapport au travail des jeunes Québécois diplômés et non diplômés de l’école secondaire et du collégial » (p. 48). L’échantillon est composé de 35 jeunes non diplômés et 32 jeunes diplômés. Il a été constitué à partir de la Banque sur les cheminements scolaires du ministère de l’Éducation du Québec.

Instruments:
Grille d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Cet article présente une analyse du rôle de la famille dans le processus d’insertion professionnelle de jeunes Québécois diplômés (n = 32) et non diplômés (n = 35) de l’école secondaire. L’analyse d’entretiens semi-dirigés réalisés de quatre à cinq ans après leur départ de l’école s’appuie sur les théories des réseaux sociaux et des formes de capital humain, social et économique. Elle montre que les jeunes non diplômés profitent davantage de la « faiblesse des liens forts » pour éviter l’exclusion du marché du travail alors que les jeunes diplômés ont avantageusement recours aux « liens faibles » et à l’aide financière de leurs parents pour construire leur insertion professionnelle. » (p. 41)