Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approche

Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approche

Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approche

Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approches

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Référence bibliographique [11813]

Mathieu, Jocelyne. 2012. «Journaux personnels des filles de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau (1855-1876). Une première approche ». Les Cahiers des Dix, no 66, p. 1-23.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteure aborde la question de la vie familiale bourgeoise au Québec à la fin du XIXe siècle par le biais des archives du fond Chauveau dont les documents relatent la vie de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau et sa famille.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Le présent article est basé sur les archives du fond Chauveau de l’Université Laval. «Dans le présent texte, nous nous familiariserons avec les journaux des demoiselles Chauveau.» (p. 2)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


L’auteure constate que le fonds comporte «une section intitulée ‘Les femmes de la famille de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau’ qui témoigne de la vie familiale, sociale et intime des femmes et des jeunes filles de la famille Chauveau, vivant à Québec et à Montréal. Cette série porte également sur la vie des enfants et jeunes filles de familles bourgeoises durant cette période, par les journaux intimes et des albums appartenant aux filles de Chauveau.» (p. 2) Pour l’auteure, «[l]e journal personnel [est] une porte d’entrée dans la vie privée et quotidienne des familles. La lecture des journaux […] fait découvrir des gestes apparemment banals qui présentent néanmoins beaucoup d’intérêt pour connaître non seulement la vie menée dans cette famille, mais aussi tout un réseau social fort important dans le milieu bourgeois de la deuxième moitié du XIXe siècle. » (p. 6-7) Pour l’auteure, les documents du fond Chauveau montrent que «[d]ans cette société bourgeoise du XIXe siècle et compte tenu des fonctions publiques occupées par le père, le réseau de relations est étendu et occupe une grande part des activités au quotidien. Nous chercherons à en apprendre davantage sur les manières de vivre de la famille de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau et de la société dans laquelle elle évolue.» (p. 23)