Évaluation du programme La grande Marelle : Le parcours de participantes
Évaluation du programme La grande Marelle : Le parcours de participantes
Évaluation du programme La grande Marelle : Le parcours de participantes
Évaluation du programme La grande Marelle : Le parcours de participantess
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Référence bibliographique [11732]
Vachon, Caroline. 2011. «Évaluation du programme La grande Marelle : Le parcours de participantes». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Département des sciences sociales.
Intentions : «Ce mémoire a comme sujet les femmes itinérantes. Il effectue l’évaluation d’un programme de réinsertion sociale nommé La grande Marelle. […] L’objet de ce mémoire de maîtrise est l’évaluation des services existants dans le but de documenter si le programme répond aux besoins des participantes et d’identifier des pistes d’amélioration possibles.» (résumé)
Questions/Hypothèses :
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Huit femmes participant au programme La grande Marelle ont été rencontrées.
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
Le mémoire permet de mieux comprendre les facteurs qui peuvent mener les femmes à se retrouver sans logis. Par exemple, «[e]n ce qui concerne l’état civil, 74% des hommes demeurant en logement déclarent être en couple. En ce qui concerne les femmes vivant en logement, seulement 30% partagent leur vie avec une autre personne. Le fait d’être en couple ou non influe sur le partage des dépenses et la situation économique de la personne […] (Viannay, 2000).» (p. 16) «[L]e souci de prendre soin de son enfant incitent certaines femmes à perdurer dans des logements inadéquats ou rend plus difficile le choix de quitter un milieu violent de peur de perdre leurs enfants si elles ne trouvent pas de logement. Pour les plus jeunes, la maternité peut être associée au rejet ou à l’expulsion du milieu familial, favorisant ainsi l’instabilité et le risque de se retrouver à la rue.» (p. 20) «Au plan social, certains auteurs (Anderson, Boe, & Smith, 1988; Zamprelli, Kraus, & Dowling, 2003; Viannay, 2000; Fournier, 1991; Lehmann, Kass, Drake, & Nichols, 2007) mentionnent que la faiblesse du réseau de soutien social, la distance géographique entre les membres d’une famille et l’éclatement des liens familiaux sont des facteurs de vulnérabilité des femmes face à l’itinérance. » (p. 21)