La présence de symptômes émotionnels chez l’enfant placé et les liens avec son intégration familiale, sociale et scolaire
La présence de symptômes émotionnels chez l’enfant placé et les liens avec son intégration familiale, sociale et scolaire
La présence de symptômes émotionnels chez l’enfant placé et les liens avec son intégration familiale, sociale et scolaire
La présence de symptômes émotionnels chez l’enfant placé et les liens avec son intégration familiale, sociale et scolaires
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Référence bibliographique [11667]
Mathieu, Annie-Claude. 2012. «La présence de symptômes émotionnels chez l’enfant placé et les liens avec son intégration familiale, sociale et scolaire». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, École de service social.
Intentions : «L’objectif de ce mémoire est de tracer un portrait des enfants placés présentant des troubles intériorisés afin de mieux les repérer pour ainsi mieux les soutenir, ainsi que les adultes qui en prennent soin.» (p. i)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «L’échantillon est composé de 62 enfants, âgés de 10 à 12 ans, placés en famille d’accueil régulière et impliqués dans le projet S’Occuper des Enfants (SOCEN).» (p. i)
Instruments : Questionnaire (Strengths and Difficulties)
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Près de 19% des 62 enfants éprouvent des symptômes émotionnels élevés. Les résultats révèlent la forte présence de troubles extériorisés (troubles hyperactifs, troubles de la conduite) chez les enfants placés présentant des symptômes émotionnels élevés. Ces enfants éprouvent aussi plus de problèmes avec les pairs. Ceux qui ont vécu plus de trois placements présentent davantage de symptômes émotionnels élevés.» (p. i) «Une fois en milieu d’accueil, les pratiques parentales peuvent influencer positivement ou négativement l’intégration de l’enfant. Dans cette étude, les garçons semblent percevoir davantage de rejet et ressentir plus de symptômes émotionnels lorsque les parents d’accueil emploient des pratiques parentales non appropriées (inconstantes, incohérentes, etc.). Les enfants placés qui éprouvent plus de symptômes émotionnels présentent aussi plus de troubles d’apprentissage et sont un plus grand nombre à avoir redoublé leur dernière année scolaire.» (p. 132-133)