Aspects de la vie spirituelle d’aînés hémodialysés en situation de perte

Aspects de la vie spirituelle d’aînés hémodialysés en situation de perte

Aspects de la vie spirituelle d’aînés hémodialysés en situation de perte

Aspects de la vie spirituelle d’aînés hémodialysés en situation de pertes

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Référence bibliographique [11655]

Lefebvre, Serge. 2012. «Aspects de la vie spirituelle d’aînés hémodialysés en situation de perte». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Faculté de théologie et de sciences des religions.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans ce mémoire, nous nous intéressons à la problématique du vieillissement, notamment dans le cadre québécois, à ce vieillissement plus spécifique des aînés hémodialysés en situation de pertes.» (p. iii)

Questions/Hypothèses :
Le présent mémoire vise à répondre au questionnement suivant: «Comment l’intégration de grandes théories sur la vie spirituelle à l’outil du bilan de vie (à son questionnaire) aide l’aîné qui subit des pertes à trouver un sens à sa vie?» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’étude est basée sur la participation de neuf patients hémodialysés.

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


À la lumière de ses recherches, l’auteur constate que «la pratique du bilan de vie est une micro-pratique à l’intérieur de la grande pratique de l’intervention en soins spirituels auprès des patients. Elle se situe dans un accompagnement. Si on veut arriver à établir le bilan de vie, il faut faire plus d’une rencontre avec le patient. Sinon, on n’arrivera pas à faire un bilan de vie en une seule journée.» (p. 16) «Fondamentalement, les sujets traités dans les bilans de vies effectués […] touchent aux [éléments suivants]: la famille, les emplois occupés, les moments importants de la vie, les buts, les pertes et le cheminement intérieur du patient.» (p. 24) «Par ailleurs, la culpabilité est très présente dans les problèmes racontés. Plusieurs ont exprimés que leurs maladies et leurs souffrances étaient une punition ou une leçon de Dieu parce qu’ils ont trop travaillé sans se préoccuper des membres de leur famille. Pour d’autre, ils ont divorcé, ils ont été selon eux de mauvais conjoints ou ils ont été trop gâtés par leurs parents. etc. Pour ces gestes, ils croient que Dieu les a punis ou leur a donné des leçons.» (p. 29)