Les travailleuses syndiquées d’une université francophone au Nouveau-Brunswick et leurs perceptions de l’iniquité salariale

Les travailleuses syndiquées d’une université francophone au Nouveau-Brunswick et leurs perceptions de l’iniquité salariale

Les travailleuses syndiquées d’une université francophone au Nouveau-Brunswick et leurs perceptions de l’iniquité salariale

Les travailleuses syndiquées d’une université francophone au Nouveau-Brunswick et leurs perceptions de l’iniquité salariales

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Référence bibliographique [11652]

LeBlanc, Janelle. 2012. «Les travailleuses syndiquées d’une université francophone au Nouveau-Brunswick et leurs perceptions de l’iniquité salariale». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École de travail social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Par cette présente étude, nous cherchons à recueillir les perceptions de l’iniquité salariale des travailleuses qui occupent un emploi typiquement féminin syndiqué au sein d’une université acadienne et francophone au Nouveau-Brunswick, de leurs conditions de travail, de la nature de leur emploi ainsi que des solutions proposées par les acteurs concernés par l’iniquité salariale. De plus, nous documentons leurs perceptions vis-à-vis les mouvements sociaux.» (p. ix)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Nous avons interrogé six travailleuses qui occupent un emploi typiquement féminin syndiqué dans une université francophone située dans une province atlantique.» (p. ix)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les femmes ont qualifié d’injustice l’iniquité salariale dans le milieu de travail universitaire. Elles remarquaient cette sous-rémunération à cause du salaire plus élevé des emplois typiquement masculins, même si elles avaient une éducation supérieure, des tâches plus exigeantes et une tenue vestimentaire exigée pour le travail. Les participantes ne percevaient que des différences entre les emplois typiquement féminins et masculins au sein de l’université, entre autres au plan des efforts, des tâches et de l’éducation. D’autre part, elles ont abordé la place des femmes sur le marché du travail et dans le milieu universitaire. Selon elles, les hommes sont perçus comme jouant le rôle du pourvoyeur familial, tandis que les femmes gagnent un salaire d’appoint et offrent un appui à ces derniers.» (p. 89) «D’après les répondantes, elles sont encore les principales responsables des obligations familiales, en dépit de leur emploi à temps plein sur le marché du travail. Elles font également référence à ces responsabilités lorsqu’elles identifient les obstacles à la participation aux actions sur l’iniquité salariale». (p. 78)