L’expérience vécue des difficultés de sommeil dans la relation de couple au Canada et au Brésil : une étude interculturelle comparative entre les villes de Québec et de Fortaleza

L’expérience vécue des difficultés de sommeil dans la relation de couple au Canada et au Brésil : une étude interculturelle comparative entre les villes de Québec et de Fortaleza

L’expérience vécue des difficultés de sommeil dans la relation de couple au Canada et au Brésil : une étude interculturelle comparative entre les villes de Québec et de Fortaleza

L’expérience vécue des difficultés de sommeil dans la relation de couple au Canada et au Brésil : une étude interculturelle comparative entre les villes de Québec et de Fortalezas

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Référence bibliographique [11596]

Castelo Branco Crisóstomo De Araújo, Taís. 2013. «L’expérience vécue des difficultés de sommeil dans la relation de couple au Canada et au Brésil : une étude interculturelle comparative entre les villes de Québec et de Fortaleza». Thèse de doctorat, Québec, Université Laval, École de psychologie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le sommeil est un phénomène naturel, biologique, individuel mais aussi socioculturellement organisé. Comprendre l’expérience vécue des difficultés de sommeil (DSom) dans la vie quotidienne de couples canadiens et brésiliens est l’objectif de cette thèse.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Onze couples hétérosexuels, sans enfant, âgés entre 24 et 47 ans, dont l’un ou les deux partenaires rapportent avoir des DSom ont été recrutés à Québec (N = 6) et à Fortaleza (N = 5).» (p. iii)

Instruments :
Guide d’entretien semi-structuré

Type de traitement des données :
Analyse de contenu
Analyse statistique

3. Résumé


«Quelle que soit la ville, les expériences vécues des DSom sont majoritairement associées au stress de la vie professionnelle et adulte; elles se traduisent par des symptômes de l’insomnie et sont étroitement liées aux contextes socioculturels, économiques, environnementaux et familiaux. Les couples se disent habitués aux DSom; ils emploient, généralement, des stratégies personnalisées et plus ’santé’ pour y faire face et préfèrent la convention sociale du partage du lit. La majorité des répondants était globalement satisfaite de leur engagement au moment de leur participation à cette étude. Le vécu de relations saines apparaît ainsi comme promouvant des comportements appropriés liés au sommeil, mais n’assure pas nécessairement une absence de DSom au sein du couple. Considérer le sommeil en contexte et reconnaitre son aspect social (et dyadique) peut contribuer à l’identification des DSom, à leur signification et à leur évaluation.» (p. iii)