Les thérapies basées sur l’acceptation et la pleine conscience

Les thérapies basées sur l’acceptation et la pleine conscience

Les thérapies basées sur l’acceptation et la pleine conscience

Les thérapies basées sur l’acceptation et la pleine consciences

| Ajouter

Référence bibliographique [11465]

Ngô, Thanh-Lan. 2013. «Les thérapies basées sur l’acceptation et la pleine conscience ». Santé Mentale au Québec, vol. 38, no 2, p. 35-63.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article vise à présenter le contexte historique qui a permis l’émergence de ce courant, les points de convergence et de divergence avec l’approche cognitivo-comportementale traditionnelle ainsi qu’une brève présentation des différentes thérapies basées sur l’acceptation et la pleine conscience.» (p. 35)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«La TCCI [thérapie comportementale de couple intégrative] (Jacobson et Christensen, 1998) est une thérapie contextuelle qui se base sur la distinction effectuée par Skinner entre les comportements modelés par les contingences et ceux qui sont dominés par les règles. Elle vise un équilibre entre l’acceptation et le changement. Le thérapeute favorise l’acceptation émotionnelle en établissant un climat d’empathie qui permet de résoudre le problème (par exemple, en aidant les partenaires à mieux comprendre leur histoire comportementale, en attirant l’attention du partenaire blâmant sur ce qui peut susciter une empathie), en aidant les partenaires à prendre une distance relativement aux problèmes, à mieux tolérer les actions désagréables du conjoint et à être en mesure de prendre soin de soi devant les actions désagréables du conjoint (Boisvert et Beaudry, 2010). Il en résulte une réorganisation des comportements en faveur d’un répertoire potentiellement disponible qui va bloquer les comportements problématiques ou interférer avec eux (par exemple, tenter de changer l’autre par des comportements aversifs tels que les menaces).» (p. 55)