Analyse féministe du syndrome postavortement : la déconstruction d’un mythe véhiculé par le mouvement pro-vie

Analyse féministe du syndrome postavortement : la déconstruction d’un mythe véhiculé par le mouvement pro-vie

Analyse féministe du syndrome postavortement : la déconstruction d’un mythe véhiculé par le mouvement pro-vie

Analyse féministe du syndrome postavortement : la déconstruction d’un mythe véhiculé par le mouvement pro-vies

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Référence bibliographique [11322]

Côté, Isabelle. 2013. «Analyse féministe du syndrome postavortement : la déconstruction d’un mythe véhiculé par le mouvement pro-vie ». Reflets : Revue d’intervention sociale et communautaire, vol. 19, no 1, p. 65-84.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[C]et article examine cinq difficultés pouvant avoir une incidence sur le bien-être des femmes qui interrompent une grossesse: les impacts d’une grossesse non désirée; l’oppression religieuse et patriarcale; les facteurs socioéconomiques; les violences envers les femmes; et l’influence négative du mouvement pro-vie.» (p. 65)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Donnée documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Par le biais d’une perspective féministe, l’auteure identifie, entre autres, la violence conjugale comme facteur influençant le choix de mettre un terme à une grossesse. Selon elle, «[d]es partenariats pourraient être développés entre les cliniques d’avortement et les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale. Ainsi, les intervenantes qui travaillent auprès d’elles pourraient sensibiliser les infirmières et les intervenantes en cliniques d’avortement, afin qu’elles soient en mesure d’identifier la violence conjugale et de référer des femmes au besoin. Sachant que plusieurs des femmes qui ont recours à leurs services sont victimes de violence conjugale, les cliniques d’avortement ont une responsabilité quant à leur bien-être et à leur sécurité. […] Ces partenariats entre les cliniques d’avortement et les maisons d’hébergement sont une bonne façon d’orienter les femmes et de soutenir celles qui désirent quitter un conjoint violent, leur permettant de bénéficier de la présence d’une intervenante spécialisée en violence conjugale qui discuterait avec elles de services ou encore qui répondrait à leurs questions et inquiétudes.» (p. 69-70)