The Culture of Rights Protection in Canadian Refugee Law: Examining the Domestic Violence Cases
The Culture of Rights Protection in Canadian Refugee Law: Examining the Domestic Violence Cases
The Culture of Rights Protection in Canadian Refugee Law: Examining the Domestic Violence Cases
The Culture of Rights Protection in Canadian Refugee Law: Examining the Domestic Violence Casess
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Référence bibliographique [11266]
Arbel, Efrat. 2013. «The Culture of Rights Protection in Canadian Refugee Law: Examining the Domestic Violence Cases ». Revue de droit de McGill / McGill Law Journal, vol. 58, no 3, //, p. 729-771.
Intentions : «Cet article examine les cas canadiens de droit des réfugiés impliquant de la violence familiale, analysés par le biais d’une comparaison avec les cas de stérilisation forcée et de mutilations génitales.» (résumé)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Pour cette recherche, 645 décisions impliquant des réfugiés de violence familiale ont été examinées.
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«L’article soutient que les arbitres canadiens reconnaissent rarement la violence domestique comme une violation des droits en soi, mais au contraire, ont montré une prédisposition générale à reconnaître des situations violence domestique dans la différence culturelle. Autrement dit, les arbitres ont tendance à reconnaître les demandeurs subissant de la violence conjugale non pas comme des victimes de pratiques de persécution, mais plutôt comme des victimes de cultures persécutrices. L’article suggère que cette approche établit des critères erronés d’évaluation des allégations de violence conjugale pour deux raisons principales. Tout d’abord, cette approche n’a pas accordé assez d’importance aux facteurs complexes, qui s’additionnent à la question la culture et qui rendent les femmes vulnérables à la persécution dans leur milieu familial. […] L’article avance que la caractérisation de la violence subie par les femmes réfugiées comme un produit de la culture fait plus que d’ériger des barrières pour les demandeurs d’asile; il fonctionne également comme un dispositif de protection qui supprime le caractère commun de la violence domestique à travers les cultures et élude sa prévalence locale.» (résumé)