1. Objectifs

Intentions :
Pour mener à terme leur recherche, les auteurs ont utilisé trois régions précises du Québec: «Sherbrooke et sa municipalité régionale de comté (MRC), la région de la Chaudière-Appalaches et la région de la Capitale-Nationale, Québec.» (p. 3) De cette façon, «l’ouvrage propose la création d’espaces de sensibilisation, de rencontre, de médiation et de coopération qui ont un impact non seulement sur l’intégration socioéconomique des immigrants, mais aussi sur les processus de participation et de citoyenneté de l’ensemble de la population locale.» (p. 7)

Questions/Hypothèses :
«Comment mettre en œuvre des mesures de régionalisation de l’immigration qui respecte les projets personnels et les compétences des immigrants tout en tablant sur les savoirs, les potentiels et les capitaux des infrastructures, mais aussi des acteurs régionaux ?» (p. 8)

3. Résumé

«[L]a première grande partie de l’ouvrage réfère aux transitions de vie des immigrants et de leur famille en région, la seconde traite du capital d’attraction et de rétention des immigrants dans ces mêmes localités.» (p. 4) Pour les auteurs, «[i]l en ressort quelques constats préliminaires parmi lesquels la présence de tensions dans les relations école-familles ainsi que l’importance des liens transnationaux et intergénérationnels dans la transmission identitaire des attitudes par rapport à l’éducation.» (p. 4) Au final, ils ajoutent également que «l’exposition à la diversité culturelle et les rencontres interculturelles de la part de la population favorisent l’intégration et l’insertion durable des immigrants dans ces localités.» (p. 6)

Les textes suivants font l’objet d’une fiche dans Famili@:

- Froelich Cim, Alessandra et Lenoir, Annick, « Les relations école-familles issues de l’immigration en région; le cas de Sherbrooke : l’état de la recherche »
- Steinbach, Marilyn et Lussier Sylvain, « L’intégration sociale des élèves issus de l’immigration dans une région du Québec »
- Guilbert, Lucie et al., « Migrer – Étudier – Travailler – Devenir maman. Un modèle coopératif interculturel d’accompagnement mutuel »