Les femmes et le marché du travail au Québec : portrait statistique
Les femmes et le marché du travail au Québec : portrait statistique
Les femmes et le marché du travail au Québec : portrait statistique
Les femmes et le marché du travail au Québec : portrait statistiques
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Référence bibliographique [11098]
Rose, Ruth. 2013. Les femmes et le marché du travail au Québec : portrait statistique. Montréal: Gouvernement du Québec, Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre.
Intentions : «L’objectif de l’étude est de présenter un portrait statistique de la situation des femmes québécoises sur le marché du travail, de son évolution au cours des années récentes et de la comparer à celle des hommes.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«[Les femmes] sont […] plus susceptibles de se retirer du marché du travail ou de se retrouver en chômage si elles ont un jeune enfant, si elles sont monoparentales ou si elles ont trois enfants ou plus. […] Des services éducatifs à temps partiel devraient aussi être offerts pour les enfants dont les parents ne sont pas en emploi […] De bons programmes de conciliation famille-emploi, inscrites dans les lois du Québec, contribueraient aussi à faciliter l’accès des femmes à des emplois traditionnellement masculins, là où les employeurs, et les employés masculins, sont les plus réfractaires à accorder la flexibilité aux femmes (ou aux hommes) ayant des responsabilités familiales importantes. [L]es étudiantes ne sont pas admissibles à des prestations de maternité et parentales parce qu’elles n’ont pas suffisamment travaillé antérieurement […] C’est l’un des domaines où la discrimination entre les femmes et les hommes est la plus flagrante, les nouveaux pères étudiants n’étant pas obligés d’interrompre leurs études pour accoucher et s’occuper de leurs nouveau-nés. Il serait important d’offrir une plus grande flexibilité quant aux délais pour terminer ses études, faire ses examens être considéré à temps plein ou répondre à toute autre exigence scolaire.» (p. 114-115)