Parce que les façons de réaliser un projet d’études universitaires ont changé... : Avis au ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche, de la science et de la technologie

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Parce que les façons de réaliser un projet d’études universitaires ont changé... : Avis au ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche, de la science et de la technologie

Parce que les façons de réaliser un projet d’études universitaires ont changé... : Avis au ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche, de la science et de la technologies

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Référence bibliographique [11061]

Julien, Mélanie et Gosselin, Lynda. 2013. Parce que les façons de réaliser un projet d’études universitaires ont changé... : Avis au ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche, de la science et de la technologie. Québec: Gouvernement du Québec, Conseil supérieur de l’éducation.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[P]ar le présent avis, le Conseil pose un regard sur les étudiants, pour mieux penser l’université à l’aune des transformations qui marquent leur rapport aux études.» (p. 3)

Questions/Hypothèses :
«La question qui […] anime [cette étude] consiste à savoir ’si l’on peut accéder à des formations universitaires de qualité […] sans être du groupe “régulier”, mais plus nécessairement majoritaire, en fonction duquel l’université a élaboré et établi ses protocoles, ses façons de faire et ses références implicites » (Lucier, 2006, p. 116).» (p. 3)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«La parentalité touche une proportion plus faible d’étudiants que le travail, peut-être parce qu’elle se concilie plus difficilement avec les études universitaires. On peut en effet penser que, pour des raisons familiales, des individus renoncent à des études universitaires, en évitant d’amorcer un projet d’études ou en l’interrompant avant de l’avoir mené à terme.» (p. 16) [Ainsi], il appert que ce n’est que pour un nombre limité d’établissements que la parentalité étudiante se présente […] comme un objet de préoccupation. Dans certains cas, cette réalité étudiante paraît même quasi absente.» (p. 55) À la suite de leurs recherches, les auteures constatent, entre autres, que «la parentalité rejoint une proportion non négligeable d’étudiants des universités, soit environ 25 % dans le réseau de l’Université du Québec; [que] cette proportion pourrait croître dans les prochaines années […]; [que] pour des raisons biologiques et culturelles, la conciliation études-famille est d’autant plus lourde pour les femmes; [que] la parentalité est associée à des risques accrus d’interruption et d’allongement des études, mais ne semble pas avoir d’effets néfastes sur les résultats des étudiants […]; [et que] les besoins en matière de garde des enfants figurent en haut de la liste des revendications des étudiants parents […].» (p. 94)