L’intégration linguistique, scolaire et sociale des élèves allophones d’origine immigrante dans la région du Grand Montréal : portrait des modèles et perceptions des acteurs

L’intégration linguistique, scolaire et sociale des élèves allophones d’origine immigrante dans la région du Grand Montréal : portrait des modèles et perceptions des acteurs

L’intégration linguistique, scolaire et sociale des élèves allophones d’origine immigrante dans la région du Grand Montréal : portrait des modèles et perceptions des acteurs

L’intégration linguistique, scolaire et sociale des élèves allophones d’origine immigrante dans la région du Grand Montréal : portrait des modèles et perceptions des acteurss

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Référence bibliographique [11002]

Armand, Françoise et De Koninck, Zita. 2012. L’intégration linguistique, scolaire et sociale des élèves allophones d’origine immigrante dans la région du Grand Montréal : portrait des modèles et perceptions des acteurs. Montréal: Centre d’études ethniques des universités montréalaises.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«La présente étude visait à tracer le portrait de ces services dans huit écoles de la région du Grand Montréal et de rendre compte de la façon dont les acteurs (enseignants, directeurs, parents, enfants) percevaient les avantages et les défis des modèles implantés dans leur milieu.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Les données ont été obtenues, au moyen d’entrevues individuelles et de focus-group, auprès des répondants de cinq commissions scolaires francophones et de 157 acteurs de ces huit établissements (des membres du personnel de direction, des enseignants d’une classe d’accueil, d’une classe ordinaire ou chargés du soutien linguistique, des membres des services complémentaires et autres; des parents d’élèves et des élèves).» (p. 2)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Si la plupart des acteurs interrogés semblent plutôt satisfaits des modalités mises en place, plusieurs parents et élèves auraient souhaité être mieux informés à leur arrivée au sujet de l’évaluation et de l’organisation du système scolaire québécois. Également, ils auraient souhaité la présence d’interprètes lors des premiers contacts avec le système scolaire québécois. Des enseignants regrettent que les informations sur le dossier de l’élève, au fur et à mesure de son parcours, ne leur soient pas transmises systématiquement ou soient insuffisantes. La question de l’évaluation des élèves allophones immigrants nouvellement arrivés en situation de grand retard scolaire a été abordée par plusieurs enseignants et directeurs, souvent pour souligner le manque de structures spécifiques réservées à ces élèves de la classe d’accueil.» (p. 2)