Référence bibliographique [10957]
Croisetière, Pierre. 2012. Portraits de politiques familiales : le Québec et treize pays développés. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la Famille, Direction des politiques Famille.
Accéder à la publication
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions :
Ce rapport vise à dresser un portrait des politiques familiales au Québec et dans treize pays développés. «Les treize pays étudiés sont l’Allemagne, l’Australie, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France, l’Italie, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses
Type de traitement des données :
Réflexion critique
3. Résumé
«Quel que soit le pays étudié, les politiques familiales sont relativement complexes. Elles sont constituées de paiements de transferts aux familles, d’avantages fiscaux, de congés parentaux et de services en nature tels que des services de garde subventionnés ou des
maternelles publiques gratuites. En général, les mesures en faveur des familles s’accompagnent d’une réglementation élaborée, de restrictions diverses, de cas d’exception ou d’exclusions. Pour comparer la générosité des différents pays, on utilise parfois comme indicateur la part du produit intérieur brut (PIB) qui est allouée à la politique familiale. […] En 2007, les dépenses publiques pour les familles représentaient un maximum de 3,7 % du PIB en France et de 3,6 % du PIB au Royaume-Uni. Le pourcentage observé était de 3,3 % en Suède et au Danemark. Le Québec se situait, en 2009, au niveau de ces deux derniers pays (3,3 %), selon une estimation du ministère des Finances, qui tient compte à la fois des dépenses provinciales et fédérales. […] Les dépenses publiques pour les familles représentaient un pourcentage relativement faible du PIB en Espagne (1,5 %), en Italie (1,4 %) et aux États-Unis (1,2 %).» (p. 3)