Mauvais traitements et diversité culturelle : bilan des connaissances et implications pour la pratique

Mauvais traitements et diversité culturelle : bilan des connaissances et implications pour la pratique

Mauvais traitements et diversité culturelle : bilan des connaissances et implications pour la pratique

Mauvais traitements et diversité culturelle : bilan des connaissances et implications pour la pratiques

| Ajouter

Référence bibliographique [10749]

Dufour, Sarah, Hassan, Ghayda et Lavergne, Chantal. 2012. «Mauvais traitements et diversité culturelle : bilan des connaissances et implications pour la pratique». Dans Les enfants maltraités : de l’affliction à l’espoir , sous la dir. de Marie-Hélène Gagné, Drapeau, Sylvie et Saint-Jacques, Marie-Christine, p. 143-164. Québec: Presses de l’Université Laval.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Les liens entre mauvais traitements et diversité culturelle constituent un thème sensible et politisé. [...] La réflexion proposée dans le présent chapitre ne signifie pas que les parents de certaines communautés soient de mauvais parents, de pires parents ou des parents violents. Le chapitre traite des familles vulnérables ou aux prises avec de graves difficultés et de la réponse du système de protection de la jeunesse à ces familles, et non pas de l’ensemble des familles de communautés culturelles.» (p.143)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Dans ce chapitre, «[...] la mise en contexte a permis [...] d’explorer les défis de l’exercice parental pour les familles immigrantes ou de minorités visibles, qu’elles soient vulnérables ou non. [L]a recension des écrits a établi que non seulement [les enfants maltraités] ont un accès inégal aux services thérapeutiques, mais également que les connaissances sur l’efficacité des interventions préventives et curatives en matière de maltraitance auprès de ces populations sont encore embryonnaires [...] Devant tous ces constats, les auteures proposent que «toute ‘recette’ d’intervention est vouée à l’échec et seule une réelle réflexion collective, complexe et créative, qui conciliera les cultures institutionnelles et celles des familles autour de buts et de valeurs partagés permettra de répondre aux besoins des enfants vulnérables issus des communautés culturelles.» (p. 164)