Les écarts de fécondité selon la situation conjugale au Québec

Les écarts de fécondité selon la situation conjugale au Québec

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Référence bibliographique [10712]

St-Amour, Martine. 2013. «Les écarts de fécondité selon la situation conjugale au Québec ». Données sociodémographiques en bref, vol. 17, no 2, p. 6-10.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article propose de comparer la fécondité selon la situation conjugale […]. La comparaison met l’accent sur les femmes mariées et en union libre, mais des données sur les femmes qui ne vivent pas avec un conjoint sont aussi présentées.» (p. 6)

Questions/Hypothèses :
«[Q]u’en est-il de la fécondité des femmes qui choisissent cette forme d’union [hors mariage]? Dans quelle mesure diffère-t-elle de la fécondité des femmes mariées?» (p. 6)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’auteure utilise les «[…] données des recensements de 1996, 2001 et 2006 [de Statistique Canada].» (p. 6)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Selon l’auteure, «[b]ien qu’il soit intéressant de souligner les différences entre la fécondité des femmes mariées et en union libre, il n’en demeure pas moins qu’au Québec, la décision d’avoir un enfant dépend beaucoup plus du fait d’être en couple ou non que de la forme de l’union. Si les femmes en union libre ont une fécondité inférieure à celle des femmes mariées, elles sont tout de même responsables de plus de la moitié des naissances. En cela, le Québec se compare avec des pays comme la France et les pays scandinaves, mais se distingue d’autres pays, comme le Japon et l’Italie, où le lien entre le mariage et la parentalité reste très fort et où, de ce fait, très peu d’enfants naissent hors mariage […]. Soulignons que ces derniers pays sont parmi ceux qui affichent la plus faible fécondité de tous les pays développés.» (p. 9)