Portrait démographique du Québec et du Canada : évolution convergente, divergente ou parallèle?
Portrait démographique du Québec et du Canada : évolution convergente, divergente ou parallèle?
Portrait démographique du Québec et du Canada : évolution convergente, divergente ou parallèle?
Portrait démographique du Québec et du Canada : évolution convergente, divergente ou parallèle?s
|
Référence bibliographique [10706]
Payeur, Frédéric F. et Girard, Chantal. 2013. «Portrait démographique du Québec et du Canada : évolution convergente, divergente ou parallèle? ». Données sociodémographiques en bref, vol. 17, no 3, p. 1-7.
Intentions : «En proposant un survol des principaux indicateurs démographiques, cet article s’attache à situer la population québécoise dans l’ensemble canadien, selon les données les plus récentes.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Les auteurs utilisent principalement des données de Statistique Canada et de l’Institut de la statistique du Québec.
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Ce survol des principaux indicateurs démographiques à l’échelle des provinces canadiennes fait ressortir une nette amélioration de la situation québécoise. Après avoir longtemps connu un important retard, l’espérance de vie du Québec est maintenant d’un niveau similaire à la moyenne canadienne. La hausse récente de la fécondité, plus marquée que dans les autres provinces, fait en sorte que le nombre moyen d’enfants par femme est plus élevé au Québec que dans l’ensemble du Canada depuis 2006. Les mouvements migratoires continuent à favoriser davantage d’autres provinces, mais les gains québécois à ce chapitre sont notables. Parmi l’ensemble des immigrants admis au Canada, la part de ceux qui se destinent au Québec s’est accrue au cours des dernières années. […] Quant à la migration interprovinciale, elle demeure négative, mais l’ampleur des pertes est moindre qu’au cours de la décennie 1990. En poursuivant les tendances démographiques observées jusqu’alors, les dernières projections laissaient entrevoir une croissance québécoise moitié moindre que celle du reste du Canada d’ici 2036 […].» (p. 7)