A la quête du ''bout de papier'' : les perceptions des expériences scolaires, des études et diplômes universitaires chez les lycéens guinéens du privé et du public

A la quête du ''bout de papier'' : les perceptions des expériences scolaires, des études et diplômes universitaires chez les lycéens guinéens du privé et du public

A la quête du ''bout de papier'' : les perceptions des expériences scolaires, des études et diplômes universitaires chez les lycéens guinéens du privé et du public

A la quête du ''bout de papier'' : les perceptions des expériences scolaires, des études et diplômes universitaires chez les lycéens guinéens du privé et du publics

| Ajouter

Référence bibliographique [10626]

Diaby, Mohamed. 2010. «A la quête du ''bout de papier'' : les perceptions des expériences scolaires, des études et diplômes universitaires chez les lycéens guinéens du privé et du public». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Département de sociologie.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Nous souhaitons analyser l’expérience scolaire et la lecture de l’avenir chez les lycéens guinéens d’origine sociale différente: ceux qui sont inscrits en terminale dans un lycée public ’standard’ de Conakry et leurs homologues fréquentant un lycée privé ’élitiste’ ouvert aux élèves issus de couche sociale aisée ou à tout le moins ayant des parents eux-mêmes scolarisés.» (p. 25-26)

Questions/Hypothèses :
«Que représente l’université pour les lycéens guinéens du public et du privé? Quelles sont leurs motivations à poursuivre les études à l’université?» (p. 26)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de «[…] 23 jeunes de deux lycées de la capitale, différents de par leur statut (privé/public) et l’origine sociale de leurs élèves.» (p. iii)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Ce mémoire porte sur les perceptions de l’université et des diplômes (universitaires) chez les lycéens guinéens du privé et du public en classe de terminale. […] Les résultats de la recherche montrent que l’expérience scolaire et extrascolaire varie considérablement selon le type de lycée fréquenté. […] Les [élèves au privé] bénéficient d’un cadre d’apprentissage […] et d’un contexte familial clairement plus propices aux études que les [élèves au public] Les données révèlent en outre que la poursuite des études au-delà de la classe de terminale est perçue par les deux groupes de lycéens comme une suite logique de leur parcours scolaire. […] Enfin, pour les jeunes filles du lycée privé, la poursuite des études est présentée comme un moyen d’acquérir une certaine indépendance même si, comme leurs homologues du public, la poursuite des études doit ’coexister’ avec le projet matrimonial.» (p. iii) Une section vise à comprendre «[…] comment les parents sont impliqués dans les projets scolaires de leurs enfants et comment ils interagissent avec [ceux-ci]» (p. 91) et une autre se penche sur la façon dont «[…] les parents influencent les ambitions scolaires de leurs enfants.» (p. 119) L’auteur conclut notamment que la famille constitue un acteur clé dans la réussite scolaire de l’enfant.