He Said, She Said: an Examination of Sexual Coercion from the Perspective of Mixed-Sex Couples
He Said, She Said: an Examination of Sexual Coercion from the Perspective of Mixed-Sex Couples
He Said, She Said: an Examination of Sexual Coercion from the Perspective of Mixed-Sex Couples
He Said, She Said: an Examination of Sexual Coercion from the Perspective of Mixed-Sex Coupless
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Référence bibliographique [10517]
Brousseau, Mélanie M. 2011. «He Said, She Said: an Examination of Sexual Coercion from the Perspective of Mixed-Sex Couples». Thèse de doctorat, Montréal, Université du Québec à Montréal, Département de psychologie.
Intentions : «Le but de cette recherche est d’identifier le taux de CS [coercition sexuelle] selon les deux partenaires des couples [article 1], ainsi que de développer des modèles de prédiction de la victimisation et perpétration de la CS chez les femmes et les hommes.» (article 2) (p. x)
Questions/Hypothèses : In the first study, «[…]we predicted that women and men would report experiencing more SC than their partners would report perpetrating, regardless of gender. It was also expected that the majority of coercive couples would report reciprocal sexual coercion [...] Furthermore, it was hypothesized that participants would report more coercion within previous relationships as opposed to within their current one. [In the second study,] [i]t was predicted that CSA [childhood sexual abuse] and experiences of SC in previous relationships would increase the likelihood of SC in current relationships. Moreover, [...] it was anticipated that the partner pressure motive would predict sexual coercion victimization, whereas power and stress relief motives would predict SC perpetration.» (p. 19-20)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : In the first study, «[s]tudent participants were recruited from undergraduate and graduate courses in a public metropolitan Canadian university at the beginning of the summer and fall semesters of 2005.[...] Our final sample size was 222 heterosexual couples.» (p. 32) In the second study, «[p]articipants were both members of 209 heterosexual couples recruited within a larger study on sexual negotiation. At least one member was a university student, 35 years old or younger.» (p. 68)
Instruments : Questionnaires (utilisés dans les deux études)
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Les résultats [de la première étude] ont démontré qu’au-delà de 50% des couples ont rapporté avoir vécu de la CS dans leur relation amoureuse. Plus spécifiquement, 25% des couples rapportaient de la victimisation chez la femme seulement, 10% rapportaient de la victimisation chez les hommes seulement, et 20% des couples rapportaient que la CS était réciproque. De plus, les résultats ont démontré que moins de 30% des couples étaient en accord quant à la présence de la CS au sein de leur relation amoureuse. Par ailleurs, les hommes et les femmes rapportaient généralement plus de CS dans leurs relations amoureuses passées qu’au sein de leur couple actuel. […] Les résultats [de la deuxième étude] suggèrent que l’agression sexuelle vécue en enfance était un prédicteur significatif seulement pour prédire les comportements coercitifs chez les femmes, tandis que les antécédents de CS prédisaient la victimisation et la perpétration de CS chez les hommes seulement. […] Les résultats démontrent aussi que la motivation sexuelle du pouvoir était un facteur prédicteur significatif pour la perpétration de la CS, tandis que la motivation d’imposition était un facteur prédicteur significatif pour la victimisation chez les femmes et les hommes.» (p. x-xi)