La virilité en jeu : perception de l’homosexualité masculine par les garçons adolescents

La virilité en jeu : perception de l’homosexualité masculine par les garçons adolescents

La virilité en jeu : perception de l’homosexualité masculine par les garçons adolescents

La virilité en jeu : perception de l’homosexualité masculine par les garçons adolescentss

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Référence bibliographique [10490]

Bastien Charlebois, Janik. 2011. La virilité en jeu : perception de l’homosexualité masculine par les garçons adolescents. Québec: Septentrion.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce livre, l’auteure a pour objectif «[...] d’explorer en profondeur la diversité des attitudes à l’égard des hommes homosexuels et de l’homosexualité afin de mieux les comprendre.» (p. 56)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon de cette recherche se compose de vingt-et-un élèves fréquentant des écoles secondaires de Montréal et de la Rive-Sud. Les répondants sont des garçons âgés de quinze ans ou seize ans.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


Dans cet ouvrage, l’auteure étudie les perceptions les garçons adolescents «[…] ont des gais en prenant pour point de départs leurs propres mots, leurs propres associations d’idées et leurs propres expériences […]. Cela permet de déterminer si leurs attitudes découlent de leur socialisation ou si elles émanent irrémédiablement d’une quelconque nature d’homme. À l’heure où plusieurs affirment que le milieu scolaire ne répond pas aux besoins ainsi qu’à la présumée nature des garçons, ces questions sont très importantes pour éviter d’aller vers un durcissement des rôles sexuels et des comportements masculins traditionnels.» (quatrième de couverture) Dans ce livre, une section est consacrée à la perception qu’ont ces jeunes du mariage de personnes de même sexe. Selon l’auteure, «[c]ertains n’y voient aucune objection, manifestant même une critique des positions contraires, d’autres sont encore mitigés et finalement quelques-uns s’y opposent nettement. À travers leurs rationalisation et leurs justifications se profilent encore les conceptions sous-jacentes de l’homosexualité, puis des idéaux de cohabitation sociale entre majorité hétérosexuelle et minorités sexuelles.» (p. 132)