Jeunesse, santé et mode de vie

Jeunesse, santé et mode de vie

Jeunesse, santé et mode de vie

Jeunesse, santé et mode de vies

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Référence bibliographique [10451]

Gauthier, Madeleine. 2010. «Jeunesse, santé et mode de vie». Dans Des sciences sociales dans le champ de la santé et des soins infirmiers: À la rencontre des âges de la vie, des vulnérabilités et des environnements , sous la dir. de Louise Hamelin-Brabant, Bujold, Louise et Vonarx, Nicolas, p. 35-58. Québec: Presses de l’Université Laval.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce chapitre, l’auteure propose plusieurs raisons à l’importance que l’on accorde aujourd’hui à cette période de la vie que l’on désigne comme étant la jeunesse.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Ce chapitre se divise en trois principales sections, soit «1) la reconnaissance de la jeunesse comme étape du cycle de la vie; 2) son allongement par le report des transitions vers la vie adulte; 3) de nouveaux types de rapports entre les générations» (p. 37) Puis, l’auteure conclut que la jeunesse est «[...] une période de la vie marquée par le changement d’états en raison des transitions mais aussi de la sensibilité aux changements structurels et conjoncturels de la société. Ces changements ne sont pas sans produire certains effets sur une santé qui est généralement bonne à cet âge. La plupart des institutions reconnaissent l’importance de cet âge de la vie qui marquera les débuts de la vie adulte : aide à l’insertion professionnelle, mesures d’aide à la parentalité, système de santé et de prévention des maladies et du suicide, campagnes pour la prudence au volant et tant d’autres. […] Il arrive [même] que certains modèles de vie familiale conduisent à la pauvreté et à ses conséquences sur la santé. […] Les intervenants et les soignants qui s’adressent aux jeunes ne peuvent ignorer que les situations sont beaucoup plus complexes que le diagnostic posé dans un cadre biomédical.» (p. 52-53)