Critique des fondements et usages de l’écosystémie dans le domaine du partenariat école-famille-communauté : application d’une perspective contextuelle et socioculturelle dans le cadre du programme Famille, école, communauté, réussir ensemble

Critique des fondements et usages de l’écosystémie dans le domaine du partenariat école-famille-communauté : application d’une perspective contextuelle et socioculturelle dans le cadre du programme Famille, école, communauté, réussir ensemble

Critique des fondements et usages de l’écosystémie dans le domaine du partenariat école-famille-communauté : application d’une perspective contextuelle et socioculturelle dans le cadre du programme Famille, école, communauté, réussir ensemble

Critique des fondements et usages de l’écosystémie dans le domaine du partenariat école-famille-communauté : application d’une perspective contextuelle et socioculturelle dans le cadre du programme Famille, école, communauté, réussir ensembles

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Référence bibliographique [10299]

Boulanger, Dany, Larose, François, Larivée, Serge J., Couturier, Yves, Mérini, Corinne, Blain, François, Cusson, Valérie, Moreau, Daniel et Grenier, Naomi. 2011. «Critique des fondements et usages de l’écosystémie dans le domaine du partenariat école-famille-communauté : application d’une perspective contextuelle et socioculturelle dans le cadre du programme Famille, école, communauté, réussir ensemble ». Service Social, vol. 57, no 2, p. 129-157.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article s’inscrit au cœur du débat sur la nature du partenariat école-famille communauté et sur ses logiques sous-jacentes. Nous y contribuons en questionnant les fondements et les usages de l’écosystémie qui est, en principe, à la base des pratiques collaboratives et de l’engagement parental. […] Nous nous appuierons sur le programme Famille, école, communauté, réussir ensemble (FECRE), mis en œuvre au Québec entre 2002 et 2009, pour illustrer l’actualisation d’une telle logique écosystémique dans le cadre de pratiques collaboratives ainsi que de l’engagement parental.»» (p. 129)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les auteurs utilisent des données documentaires diverses.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Les auteurs concluent que «[l]’usage de l’écosystémie en tant que métathéorie a permis d’identifier des cas de figure du partenariat école-famille-communauté. Ayant insisté sur la perspective mécaniste, le continuum présenté laisse place au positionnement d’un ensemble d’autres tendances intermédiaires. Évoquons le modèle d’Epstein, qui peut s’inscrire dans une perspective organiste mécaniste par la promotion qui y est faite d’un rapprochement entre systèmes en fonction d’un modèle scolaire et en référence aux principes de la cohérence et de la continuité (Vincent et Tomlinson, 1997). En croisant les fondements et les conditions de la pratique et en tenant compte de la composante socioculturelle, la perspective que nous proposons permet de réfléchir au lien école-famille-communauté sous des angles variés, celui de l’interaction, de l’engagement, des dynamiques socioculturelles et de l’articulation d’objets culturels. Ce que nous suggérons peut permettre d’englober, de systématiser et de compléter plusieurs tentatives de conceptualisation (par le biais de typologies), en particulier celles d’auteurs comme Swap (1990), lequel définit l’engagement en fonction de la nature du rôle parental.» (p. 147) À noter que cette recherche offre une réflexion sur la conceptualisation des partenariats école-famille-communauté.