Situation des immigrants récents à Montréal quant au logement, dans une perspective métropolitaine comparative : contrastes et convergences

Situation des immigrants récents à Montréal quant au logement, dans une perspective métropolitaine comparative : contrastes et convergences

Situation des immigrants récents à Montréal quant au logement, dans une perspective métropolitaine comparative : contrastes et convergences

Situation des immigrants récents à Montréal quant au logement, dans une perspective métropolitaine comparative : contrastes et convergencess

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Référence bibliographique [10254]

Rose, Damaris. 2010. «Situation des immigrants récents à Montréal quant au logement, dans une perspective métropolitaine comparative : contrastes et convergences ». Thèmes canadiens / Canadian Issues, vol. Automne, p. 85-89.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans ce bref article, nous comparerons la situation en matière de logement des nouveaux arrivants à Montréal et dans les deux autres principales ‘villes d’arrivée’.» (p. 85)

Questions/Hypothèses :
«Les ménages d’immigrants récents sont plus susceptibles d’être composés de familles ayant des enfants que les ménages de Montréal, en général. Avec quelles difficultés particulières en matière de logement ces ménages sont-ils aux prises?» (p. 85)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’article se fonde, en grande partie, sur une étude effectuée récemment par des chercheurs de trois des cinq centres d’excellence du projet Metropolis, qui ont utilisé des données du recensement et de l’Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC) […].» (p. 85)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Selon l’auteure, «[l]a grande majorité des immigrants récents à Montréal, comme la plupart des autres résidents de l’île de Montréal, vivent dans des logements locatifs du secteur privé. Même si, comme des générations d’immigrants avant eux, la plupart arrivent en prévoyant devenir propriétaires, la majorité d’entre eux ne le deviendront pas au cours de la première décennie après leur arrivée et bon nombre d’entre eux ne le deviendront jamais. C’est d’abord et avant tout l’avenir du secteur du logement locatif privé qui déterminera la qualité de vie et façonnera les expériences en matière de logement de la plupart des nouveaux arrivants à Montréal. Il sera important de continuer à surveiller si le parc de logements locatifs de Montréal convient à la composition des ménages d’immigrants. La pénurie actuelle d’unités appropriées et à prix modique pour les familles pourrait grandement s’aggraver à mesure que les cohortes de jeunes arrivants sans enfants de la dernière décennie seront prêtes à fonder des familles.» (p. 89)