Le réseau des Centres de la petite enfance contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47) : Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance
Le réseau des Centres de la petite enfance contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47) : Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance
Le réseau des Centres de la petite enfance contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47) : Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance
Le réseau des Centres de la petite enfance contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47) : Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfances
|
Référence bibliographique [10193]
Desmarquis, Myriam. 2009. Le réseau des Centres de la petite enfance contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47) : Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance. Montréal: Centre de recherche sur les innovations sociales.
Intentions : «La monographie suivant porte sur la lutte du réseau des CPE contre le projet de loi 124 (2005, chapitre 47): Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance, à l’automne 2005, et couvre la période entre l’annonce du projet de loi jusqu’à son adoption.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Pour compléter l’analyse documentaire, trois personnes ont été rencontrées en entrevue. Elles ont toutes participé à l’organisation et aux actions de la coalition au moment de la lutte.» (p. 3)
Instruments : Guide d’entretien
Type de traitement des données : Analyse de contenu Réflexion critique
3. Résumé
Selon l’auteure, «[g]râce aux négociations chevronnées des leaders de l’AQCPE et de leurs partenaires, plusieurs acquis ont été conservés. En effet, la lutte a permis d’obtenir des modifications législatives importantes quant à l’aspect éducatif, à la non-commercialisation des services de garde et au pouvoir des parents qui sont demeurés majoritaires sur les conseils d’administration. Toutefois, bien que le nombre de bureaux coordonnateurs responsables des services de garde en milieu familial ait pu être augmenté comparativement au projet de loi initial, la perte du milieu familial représente un échec pour bon nombre de CPE. Ainsi, les participants sortent à la fois avec fierté du travail accompli et l’amertume de l’adoption de la loi par un bâillon. En plus des modifications apportées au projet de loi, la lutte a eu plusieurs autres retombées positives. D’abord, la lutte contre le projet de loi 124 a permis de renforce la cohésion du réseau des CPE. Ensuite la diversité des alliés et des sympathisants démontre que l’AQCPE a su rassembler des acteurs sociaux au-delà de son réseau de partenaires traditionnels.» (p. 61)