Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec

Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec

Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec

Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québecs

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Référence bibliographique [1018]

Vatz Laaroussi, Michèle. 2009. Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec. Québec: Presses de l’Université du Québec, Collection Problèmes sociaux & interventions sociales.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce livre, « [l]e lecteur est invité à suivre les voies alternatives tracées par cette perspective conceptuelle originale qui place les territoires symboliques, relationnels, géographiques et politiques au centre des dynamiques de mobilité et qui s’intéresse aux acteurs de ces mouvements à travers leurs stratégies familiales et collectives. Les réseaux transnationaux sont abordés ici comme des terrtoires de l’immigration investis et symbolisés par les immigrants [...] » (p. 2).

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses
« [D]es entrevues ont été menées avec différents membres, hommes, femmes, adultes, jeunes, de familles immigrantes et réfugiées au Canada et au Québec. Plus de trois cents familles d’origines diverses ont ainsi raconté leur trajectoire et leurs projets. On y a aussi rencontré en entrevues ou en groupes de discussion des acteurs locaux de la société d’accueil. » (p. 3)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu
Analyse théorique

3. Résumé


« Illustré de nombreuses histoires de mobilité, l’ouvrage analyse l’importance des dynamiques familiales, des réseaux et de l’histoire migratoire dans les rapports entretenus avec les territoires, les frontières et la mobilité, tant géographique que sociale. C’est dans ces articulations complexes que l’auteure identifie des faisceaux de résilience qui permettent aux migrants, hommes et femmes, jeunes et adultes, de survivre dans l’adversité, mais plus encore de ‘rebondir’ et d’avancer dans un parcours d’insertion semé d’embûches. Cet ouvrage s’adresse dès lors non seulement aux chercheurs et aux formateurs de l’immigration et de l’interculturel, mais aussi aux décideurs, gestionnaires et praticiens qui œuvrent avec des migrants. L’auteure fait le pari que, s’ils saisissent ces dynamiques familiales de mobilité, les politiques, programmes et pratiques d’intervention peuvent favoriser le développement de la résilience, permettant ainsi une meilleure intégration sociale des migrants et l’adaptation des territoires qui les accueillent. » (quatrième de couverture)