1. Objectifs

Intentions :
« [Les] rapport intergénérationnels seront abordés dans ce texte au travers des réseaux transnationaux des migrants et plus spécifiquement dans deux de leurs dimensions, la continuité et la mobilité. » (p. 268)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
L’auteure s’est basée sur « [...] les données de plusieurs recherches menées auprès de familles immigrantes et réfugiées au Québec. » (p. 268)
Elle se base aussi sur des recherches qu’elle a menées sur la mobilité d’un réseau colombien et d’un réseau africain.

Instruments:
Une des études utilise une grille d’entrevue semi-dirigée

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé

« Afin d’accéder à la complexité de ces réseaux et d’en permettre une analyse approfondie, nous proposons de raconter d’abord les histoires de deux réseaux migrants au Québec issus de nos recherches sur la mobilité, un réseau colombien et un réseau africain. Ces histoires d’aborder la réalité migratoire et les rapports entre les générations tels que portés non seulement par les sujets acteurs de ces réseaux mais aussi par la structure spécifique et les caractéristiques de ces réseaux. Quelques commentaires sur les dynamiques propres à ces organisations informelles, en émailleront l’histoire. C’est sur ces spécificités des réseaux transnationaux que nous reviendrons dans une deuxième partie, en y ajoutant d’autres illustrations et analyses issues de nos précédentes recherches. Nous y insisterons sur leur composition ainsi que sur leurs dynamiques spécifiques qui s’y développent sur le plan des rapports intergénérationnels. Nous reviendrons ici sur trois fonctions structurées par ces rapports entre les générations : la résilience, la transmission et l’entraide. Finalement, nous conclurons sur l’articulation complexe entre continuité et mobilité émergente de ces réseaux transnationaux et permise par les liens, relations et représentations entre les générations qui les composent. » (p. 269)