La motivation en première et deuxième année du primaire : une analyse en fonction du genre et du statut socioéconomique

La motivation en première et deuxième année du primaire : une analyse en fonction du genre et du statut socioéconomique

La motivation en première et deuxième année du primaire : une analyse en fonction du genre et du statut socioéconomique

La motivation en première et deuxième année du primaire : une analyse en fonction du genre et du statut socioéconomiques

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Référence bibliographique [10143]

Guay, Frédéric et Talbot, Denis. 2010. La motivation en première et deuxième année du primaire : une analyse en fonction du genre et du statut socioéconomique. Coll. «Vol. 5, fascicule 3». Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«La motivation à l’égard de certaines matières, au début du primaire, est le sujet abordé dans le présent fascicule.» (p. 1)

Questions/Hypothèses :
«Quelles sont les caractéristiques des élèves qui réussissent bien en lecture, en écriture et en mathématiques?» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Ce fascicule s’appuie sur les données de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ 1998- 2010) conduite par l’Institut de la statistique du Québec […].» (p. 1) «Les analyses reposent sur un échantillon de 1 505 élèves.» (p. 2)

Instruments :
Sondage

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Dans ce fascicule, le niveau de ces deux composantes de la motivation et leurs changements ont été examinés en fonction du genre et du statut socioéconomique des élèves. Le choix de ces deux facteurs repose sur le fait que certaines études indiquent, de manière générale, que les filles de même que les élèves de milieux socioéconomiques plus favorisés réussissent mieux à l’école que les autres […]. […] En conclusion, des interventions semblent nécessaires pour aider les garçons à accroître leur plaisir dans la lecture et l’écriture et à se percevoir compétents dans ces matières. Chez les filles, de telles interventions devraient plutôt cibler les mathématiques. Enfin, dans une certaine mesure, il peut s’avérer important d’aider les élèves qui vivent dans une famille moins favorisée sur le plan socioéconomique afin qu’ils puissent se sentir plus compétents en lecture et éprouver plus de plaisir à l’égard de cette matière dès l’entrée à l’école.» (p. 7-8)