Le sport : Promoteur de la santé et de la participation sociale en déficience intellectuelle
Le sport : Promoteur de la santé et de la participation sociale en déficience intellectuelle
Le sport : Promoteur de la santé et de la participation sociale en déficience intellectuelle
Le sport : Promoteur de la santé et de la participation sociale en déficience intellectuelles
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Référence bibliographique [10130]
Grandisson, Marie, Freeman, R. Andrew et Tétreault, Sylvie. 2010. «Le sport : Promoteur de la santé et de la participation sociale en déficience intellectuelle ». Revue francophone de la déficience intellectuelle, vol. 21, p. 54-65.
Intentions : «La présente recension des écrits scientifiques explore les retombées du sport pour les individus présentant une DI [déficience intellectuelle] ainsi que les éléments pouvant favoriser ou nuire à leur participation aux sports et à leur l’intégration dans les groupes sportifs réguliers.» (p. 54)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Les auteurs recensent et abordent des ouvrages et des articles scientifiques sur la pratique du sport par des individus présentant une DI.
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«À la lumière de cette recension des écrits, le sport apparaît comme un outil puissant pour faire la promotion de la santé et de la participation sociale des personnes ayant une DI. Or, de nombreux défis doivent être relevés en lien avec la participation aux sports et plus particulièrement aux sports avec les personnes sans déficience. Il serait fort pertinent que des recherches futures documentent les retombées de l’intégration dans les groupes sportifs réguliers sur la personne et sur l’environnement, ainsi que les facilitateurs à l’intégration dans les sports réguliers de la communauté. Dans l’optique d’une société inclusive, il est essentiel de créer des conditions favorables à l’accueil des personnes ayant des différences dans les milieux sportifs réguliers. Des acteurs œuvrant à divers plans doivent se sentir interpellés, afin que des approches novatrices soient développées pour favoriser la participation et l’intégration sportive des individus ayant une DI.» (p. 61) Cette étude se penche notamment sur les bienfaits de la pratique d’un sport sur les relations parents-enfants. À cet égard, les auteurs soulignent que «[…] les parents d’une personne ayant une DI, qui assistent aux compétitions sportives, rapportent vivre une relation parent-enfant beaucoup plus positive que ceux n’y assistant pas […].» (p. 57)