Outcome in First-episode Psychosis: the Role of Self-esteem, Parenting Style, and Childhood Trauma
Outcome in First-episode Psychosis: the Role of Self-esteem, Parenting Style, and Childhood Trauma
Outcome in First-episode Psychosis: the Role of Self-esteem, Parenting Style, and Childhood Trauma
Outcome in First-episode Psychosis: the Role of Self-esteem, Parenting Style, and Childhood Traumas
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Référence bibliographique [1009]
Vracotas, Nadia. 2009. «Outcome in First-episode Psychosis: the Role of Self-esteem, Parenting Style, and Childhood Trauma». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université McGill, Département de psychiatrie.
Intentions : « The objective of the current study is to examine the impact of self-esteem in individuals who presented for treatment of a first-episode of psychosis on outcome early in the course of the illness, as well as, investigate the influence that early life experiences have on the development of self-esteem in these individuals. » (p. 16-17)
Questions/Hypothèses: « L’estime de soi est un élément important dans le développement de troubles psychiatriques. Nous posons l’hypothèse que chez les patients présentant des signes avant-coureurs de trouble psychotique, l’estime de soi sera associée avec le pronostic et elle sera en retour influencée par les expériences en début de vie. » (p. 5)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : « The Self-Esteem Rating Scale, The Parental Bonding Instrument (PBI), the Measure of Parental Style (MOPS) and The Childhood Trauma Questionnaire (CTQ) were administered to 75 individuals with FEP receiving treatment at the Prevention and Early Intervention Program for Psychoses in Montréal, Canada. » (p. 5)
Instruments: Questionnaire
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
L’estime de soi était corrélée positivement avec le GAF, mais elle n’était pas corrélée avec le statut de rémission à six mois. L’estime de soi était négativement corrélée avec la surprotection du PBI, les échelles de surcontrôle et d’abus du MOPS, en relation avec les mères. L’estime de soi était aussi négativement corrélée avec les échelles de négligence émotionnelle, d’abus émotionnel et sexuel du CTQ. […] L’estime de soi influence le pronostic de psychoses précoces et, en retour, elle est influencée par les premières expériences de vie. Ceci pourrait avoir des implications afin de développer des interventions spécialisées améliorant le pronostic. » (p. 5-6)